Ce vendredi 17 mai, Espacil Habitat inaugure la résidence Jean Cavaillès, seconde partie d’un ensemble architectural constitué de 4 bâtiments qui a déjà accueilli ses premiers habitants en février dernier dans la résidence Orena (Ataraxia Promotion). Parmi les 38 nouveaux logements, un nouveau genre d’habitat à Rennes est expérimenté par le bailleur social Espacil Habitat : la colocation inclusive pour personnes porteuses de Trisomie 21.
Au cœur du quartier Courrouze, l’ensemble architectural réalisé par l’Agence Laurent Lagadec vient d’être livré dans sa totalité. Situé à 200 m de la ligne b du métro, il s’ouvre d’un côté sur la place Jeanne Laurent et ses commerces, de l’autre sur un jardin central et partagé. L’ensemble met à disposition 105 logements dont 63 en accession libre commerclialisés par Ataraxia Promotion et, 38 autres en locatif social gérés par le bailleur social Espacil Habitat.
Au sein de la résidence Jean Cavaillès, un appartement de 200 m² composé de 6 studios indépendants et d’espaces partagés pourra accueillir trois ou quatre personnes porteuses de Trisomie 21 ainsi que leurs accompagnants.
L’objectif ? Tester une nouvelle formule d’habitat en colocation pour proposer une alternative à l’offre de logements en institutions médico-sociales et à la cohabitation avec les proches pour favoriser l’inclusion et l’autonomie. Habitat d’un nouveau genre, les modalités de gestion locative ont ainsi été adaptées et les aspects techniques ont fait l’objet d’un soin particulier notamment sur le choix des matériaux et des couleurs à l’intérieur des espaces de vie.
Espacil recherche ainsi des candidats souhaitant tenter l’expérience de l’habitat partagé en autonomie. Les personnes intéressées peuvent prendre contact avec Cécile Leboucher au 02 99 27 72 13 ou par mail à l’adresse Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..
Les urbanistes du projet urbain ont organisé le développement des 4 bâtiments autour d’une butte de terre qui permettait, à l’origine, de contenir les risques d’explosions d’un bâtiment de stockage des munitions. Celle-ci est jonchée de 3 arbres centenaires qui ont pu être conservés.
Crédits iconographiques : ALL - Agence Laurent Lagadec
